Reproductions et affiches de ses œuvres éditées dans son atelier sur papier ou toile dans différents formats et signées manuscrite

Tout savoir sur La chanson du rugby le dimanche à 15h d’Eric Platel

Le dimanche à 15 heures une chanson d’ Eric Platel (Eric Brannay)

Le Dimanche à 15 heures

Une chanson de Rugby qui résonne profondément chez ceux qui jouent ou ont joué à ce sport si particulier. Écrite et interprétée par Eric Brannay, également connu sous le nom d'artiste Eric Platel, cette chanson est devenue l'hymne du Rugby pour de nombreux passionnés. Elle évoque des histoires, des témoignages et des souvenirs, avec une pointe de nostalgie et de fraternité.

En relançant cette chanson, l'objectif est de soutenir la Fondation Ferrasse-FFR, qui vient en aide aux grands blessés du Rugby.


Les personnes qui ont aimé cette chanson ont la possibilité de la télécharger gratuitement et sont également encouragées à faire un don à la Fondation Ferrasse-FFR. Cette association, membre de la Fondation de France, apporte un soutien moral et financier aux joueurs qui ont connu des difficultés suite à des blessures liées à leur passion pour le Rugby.

Sur cette page , on peut trouver le texte de la chanson, la partition musicale avec les accords de guitare, le play-back pour chanter, ainsi que des versions en bandas et en chœur d'hommes. De plus, il y a une version en anglais intitulée "Saturday at 3" enregistrée par Eric Brannay. Tous ces éléments sont disponibles gratuitement.

En échange, il est proposé d'envisager un geste envers la Fondation Ferrasse-FFR. Les donateurs recevront un reçu avec possibilité de déduction fiscale. Parce que le Rugby ne se limite pas au terrain, il est également important de partager des moments de convivialité et de chanter ensemble lors des troisièmes mi-temps.


Coup,d'envoi

Le dimanche à 15 heures une chanson de RUGBY. Pour certains,

LA CHANSON DU RUGBY,  avec des paroles, une musique... des musiques, des chants, des histoires, des témoignages, de la générosité, quelques souvenirs, un écho de troisième mi-temps, une pointe de nostalgie et de fraternité

Pour qui ?

Un peu de fraternité dans le monde d'Ovalie ou Le Dimanche à 15 heures au profit de La Fondation Ferrasse F.F.R.
En décidant de relancer cette chanson, nous avons voulu que l'opération soit intégralement menée au bénéfice de la Fondation Ferrasse-FFR
Cet organisme, dont la rigueur de gestion est unanimement reconnue, a pour but de venir en aide aux grands blessés du Rugby
Alors, rien n'empêche ceux qui ont aimé cette chanson, et qui veulent la conserver, de la télécharger, intégralement et gratuitement. Et rien ne les oblige, mais rien ne leur interdit non plus, d'avoir, eux aussi un geste et de faire un don à la Fondation Ferrasse-FFR
Membre de la Fondation de France, cette association, animée par d'anciens joueurs et dirigeants à l'esprit 100% Rugby, agit dans un esprit de bénévolat total et apporte un peu de chaleur et de soutien moral et financier à ceux qui n'ont pas eu de chance en vivant leur passion
Son adresse : Fondation Ferrasse-FF.R. 9 rue de Liège 75009 Paris

Parmi ces chansons il en est une qui touche, au plus profond d'eux-mêmes, ceux qui jouent, et peut-être plus encore, ceux qui ont joué à ce jeu si particulier qu'est le Rugby. Pour beaucoup, Le Dimanche à 15 Heures c'est la Chanson du Rugby.
Son auteur-compositeur-interprète, Eric Brannay de son pseudonyme d'artiste et Eric Platel de son nom, un ancien joueur, l'a écrite, -voir le lien: Un dimanche...- et enregistrée sur disque 45 Tours.
Quelques années plus tard, la musique, avec la coopération de Philippe Darés, et, peu après, les paroles, furent très légèrement modifiées, ainsi que le titre: Le Dimanche à 3 heures devint. Le Dimanche à 15 heures
En 2003, Marc Natan, Président de MALCO produisit un CD dans lequel Eric Brannay interprétait 15 chansons dont Le Dimanche à 15 Heures.
C'est d'ailleurs l'enregistrement, extrait du CD, qui est diffusé ici, sur cet article  ou l'on peut trouver également.
- Le texte de la chanson.
- La partition musicale, avec les accords de guitare.
- Le play-back, pour permettre à chacun de chanter aussi
- La version Bandas.
- La version Chœur d'Hommes.
Et également:
- La version en langue anglaise de la chanson devenue Saturday at 3. enregistrée par Eric Brannay (et l'on ne se moque pas de l'accent !)
-cLe texte de l'adaptation en anglais. Tout cela, répétons-le, est totalement libre et gratuit.
Alors, en échange, un geste envers la Fondation Ferrasse-FF.R.?
Les donateurs recevront, bien sûr, un reçu, avec possibilité de déduction fiscale. Pas de Rugby sans troisième mi-temps Pas de troisième mi-temps sans chansons



On en parle à rencontres à 15 

Le Dimanche à 15h où comment est née la chanson du rugby

Un dimanche d'automne Ou La petite histoire. d'une chanson de RUGBY


Comme la plupart de ceux qui liront ces lignes, VOUS avez joué à ce jeu si particulier
- ceux qui l'ont pratiqué ne peuvent jamais tout à fait l'oublier : le Rugby Vous avez été un joueur lambda, sans la moindre sélection, Avec seulement un très modeste titre de championnat régional.
Le temps venu, il a bien fallu raccrocher les crampons.
Vous avez alors suivi les stages vous permettant de devenir éducateur dans l'école de rugby de votre club (et les mômes, c'est vrai, c'est du bonheur, rien que du bonheur).
Et voilà qu'un dimanche matin
-un beau dimanche de début d'automne- en accompagnant "vos Benjamins". vous bavardez, au bord du terrain, avec l'entraîneur de l'équipe Senior. Il y a un match cet après-midi ? Oui, ici, en "Challenge". J'espère avoir une équipe complète (soupirs)
Alors l'idée vous vient, saugrenue... insolite... farfelue. Mais il fait si beau et l'herbe de la pelouse, encore vierge
des assauts de vilains crampons, est tellement attirante.
Et puis surtout ça vous démange... ça vous démange... Si je viens. tu me fais jouer... même un peu..?
Vous rajoutez un rien prétentieux N'importe où…. .. en demi ou en trois quarts.
Vous êtes toisé, jugé, pesé (surtout pesé ) par le coach qui vous lance un condescendant:
Amène tou jours ton sac...
Alors vous rentrez chez vous excité comme un junior. Regard dédaigneux sur le coq au vin qui embaume la cuisine.
Pas le moment de se laisser aller. Sérieux, sérieux.
Vous exigez un vrai repas d'avant match: jambon, purée, eau minérale et bien sûr... pas une goutte de vin.
Rien n'a changé. Tout est comme au bon vieux temps. Vous revivez. Vous avez 20 ans.
Et votre femme qui interroge, mi-amusée, mi-consternée:

- Tu vas jouer.? Et tes genoux.? Et tes chevilles.? Et ton dos.?
Oubliés. Oubliés tout ça. Tout va bien. Plus mal nulle part.
REJOUER ! VOUS ALLEZ REJOUER !
Où est mon vieux short ? Un peu étroit ce short..
Chaussures, chaussettes, survêtement, là ça va. Normal, tout est plus récent, école de Rugby oblige.
Et vous voilà parti comme un chevalier pour sa dernière croisade.
Le vestiaire.. et cette boule à la gorge qui vous prend encore maintenant à vous retrouver dans ce lieu si particulier, presque secret, presqu' intime. Encore qu'aujourd'hui, l'intimité des vestiaires.
Bien sûr, vous avez droit à quelques vannes amicales, mais comme elles sont ponctuées d'encouragements chaleureux...
Échauffement léger, léger. Ne pas se blesser, ce serait trop bête à quelques minutes du bonheur.
Et le match commence mais -pas bon signe ça- l'équipe, votre équipe, est au complet.
Fin de la première mi-temps. Re-échauffement; ça y est, vous êtes prêt. Et le temps  passe. Le match ? Entre nous, vous vous en foutez du match.

Du coin de l'œil vous surveillez le MAÎTRE de votre destinée: l'entraîneur. Mais lui ne vous regarde même pas.
Plus grave, il ne vous voit même pas. Alors vous vous agitez, vous trottinez, vous faites des moulinets avec les bras; ça se voit, non, les moulinets ?
Et déjà le dernier quart d'heure.
Et toujours rien. Dix minutes. Cinq minutes et... coup de sifflet final.
Et vous, vous êtes là, triste et ridicule, engoncé dans votre maillot trop serré, dans votre short trop étroit, avec, sur vos épaules, toute le chagrin du monde.
Et vous avez dix fois, cent fois plus mal que si vous aviez joué. Privé de rugby... privé de jeunesse..
Et vous rentrez chez vous, seul avec votre petite mort, comme le dit si bien Jo Maso. Les larmes ne sont pas loin.
Alors, vous vous réfugiez dans votre tanière avec guitare, papier et crayon pour écrire LE DIMANCHE A 15 HEURES.

Le dimanche à 15h chantée au stade de France pour France Pays Galles

Les Paroles  de la chanson du dimanche à 15h

Le Dimanche à 15 Heures  
Eric Platel dit Eric Brannay 

 Au refrain, en cercle, leurs bras entourant les épaules voisines,formant ainsi la plus belle mêlée du monde, celle de l'amitié,ils ont chanté ensemble le Rugby.

 1 - Dans le vestiaire étroit 
Les deux grands bancs de bois 
L'odeur d'huile camphrée 
Le bruit sec des crampons 
Sonnant sur le béton 
Moi j'ai pas oublié 
Tu te mets le maillot,   
T'es tout neuf t'es tout beau 
Qui sait si tu as peur 
Un regard quelques mots 
Le Rugby ça tient chaud 
Le dimanche à 15 heures

 Refrain

Si tu n'as jamais joué 
Comment peux-tu comprendre 
Qu'on ait le cœur qui bat 
Lorsque revient septembre

 2 - A l'heure de véritén. 
Plus question de tricher 
Quand on est face à face 
Ces quatre lignes blanches  
Et ce ballon étrange 
Tout le reste s'efface 
Et tu donnes et tu prend   
Et tu cours dans le ven   
Vers la terre promise  
Et tu gagnes ou tu meur.  
Et tu ris ou tu pleures   
Mais le temps cicatrise

 Refrain

Si tu n'as jamais joué ...

 3 - Et le combat fini   
Les frères ennemis  
Se calment sous l'eau purenn    
Avoir la même foi  
Avoir les mêmes joie. 
Ça guérit les blessure?   
Et ça gueule à tue-tête  
Qu'on oublie la défaite  
Ou qu'on chante victoire  
Toi t'as jamais chanté  
Montagne-Pyrénées  
Ni de chansons à boire

 Refrain - Si tu n'as jamais joué ...

 4 - Vient le temps des regrets      
Mais on garde à jamais  
Ça te fera sourire  
Les crampons les maillots   
Les rêves les photos  
Dans l'armoire aux souv'nirsnn.  
Les dimanches à 15 heures    
Ils restent dans nos cœurs   
Y'a pas honte à l'avouer  
Et ne sois pas surpris   
Si te parlant Rugby  
J'ai la gorge nouée

 Refrain -  Si tu n'as jamais joué           

Si tu n'as jamais joué 
Comment peux-tu comprendre 
Qu'on ait le cœur qui bat 
Lorsque revient septembre

Si tu n'as jamais joué 
Comment peux-tu comprendre 
Qu'on ait le cœur qui bat 
Lorsque revient septembre

        Si tu n'as jamais joué  ...

Illustration du Cd du dimanche à 15h par Blachon

Ils ont aimés... Des témoignages

Voici, par ordre d’arrivée dans notre boîte aux lettres, quelques témoignages de « figures » de notre petit monde du Rugby.

                     Je suis certain que tous ceux qui comme Eric, ou comme moi, ont pratiqué le plus beau jeu au monde, je veux parler, bien sûr, du Rugby, gardent à jamais, dans leur cœur, la nostalgie du Dimanche à 15 heures.

                                                                                                                              Pierre Albaladéjo

          Le Dimanche à 15 Heures, pour nous les gosses, c’était d’abord une marche rapide et un peu énervée vers le stade entre le père, le parrain et l’oncle.

    La queue au petit guichet : « pesage 10 fr. », puis l’approche du terrain en se faufilant entre les grands et enfin l’attente gourmande de l’entrée des deux équipes sentant fort l’embrocation.
   Quelques années plus tard, le dimanche à 15 heures, sur le terrain cette fois-çi, c’était la traditionnelle réception des 700 kg. de viande du paquet d’en face sous le coup d’envoi . 
    Le dimanche à 15 heures d’Eric c’est ça et bien d’autres émotions qui nous ont fait grandir et nourrissent notre nostalgie.

                                                                                                                                                Blachon

      Le Dimanche à 15 heures, cette chanson de rugby, je l’ai entendue pour la première fois, il y a quelques années, en déplacement dans le Jura, chantée, à la fin d’un repas, par un dirigeant d’un petit club de la région. 
   Je fus immédiatement et  totalement séduit à tel point que, piètre chanteur, je l’ai quand même fredonnée pendant une grande partie de notre voyage de retour à Toulon.  
   Carrière terminée, je l’ai fait reprendre maintes fois, lors des voyages organisés dans le cadre du Tournoi, par le chœur des supporters, au cours de mémorables 3ème mi-temps.  
 Les paroles de la chanson Le Dimanche à 15 heures sont d’une telle justesse, d’une telle délicatesse, que l’on peut ainsi voir le film de sa vie rugbystique se dérouler dans sa tête.  
  Bien sûr, elle laisse percer une certaine nostalgie, mais quand on a joué au rugby, tous les souvenirs sont bons à raconter.  
 Alors quand on peut les chanter… surtout en équipes !

                                       Merci et bravo Eric pour ta superbe chanson.

                                                                                                                                     Christian Carrère

   Je n'aurai jamais pu penser qu'une chanson sur le rugby aurait pu m'émouvoir un jour.
Peut-être l'âge qui avance? Ou tout simplement la qualité d'un texte qui, dans sa simplicité, a su retracer tout le ressenti de notre sport. 
  Avec lui ressurgissent toutes les sensations, tous les sentiments, tous les moments (grands et moins agréables) de ce qui est devenu ma vie avec le Rugby.
   J'aime faire écouter ta chanson même à ceux ou celles qui n'ont jamais côtoyé notre sport. Chaque fois ils arrivent à comprendre le côté magique du rugby, presque à en regretter le fait de n'avoir pu y jouer.  

 Samedi dernier, avant le match France-Galles, j'ai fait suspendre les conversations dans la loge où je me trouvais quand j'ai entendu ta chanson diffusée dans les tribunes du Stade de France. Il n'en fallut pas plus pour faire comprendre, aux béotiens amenés-là par quelque sponsor, l'alchimie provoquée par le rugby. 
  Si en plus s'ils avaient su que la veille au soir cette chanson m'avait fait pleurer !  Et oui un rugbyman qui pleure, ça peut exister. 
  Et je dois reconnaître que je n'ai pas été surpris d'apprendre que Jean Prat et Patou Paparemborde ont, eux aussi, beaucoup aimé "Le Dimanche à 15 Heures".

                                                                                                                                                Amicalement

                                                                                                                             Jean Michel AGUIRRE

Jacques Verdier - Ydan Sarciat - Eric Platel 

Merci

Ils ont écrit... sur le Rugby.  
Et cela nous a beaucoup plu. 
Merci de nous avoir donné l'autorisation
de faire figurer ces textes sur notre site.

Pères et fils

Ce qui nous heurte dans l’évolution du rugby telle qu’elle se déroule sous nos yeux,  ce n’est pas, bien sûr, que les internationaux de France et d’ailleurs cherchent, par les moyens qui sont les leurs, à gagner un peu plus d’argent qu’on ne leur en propose. Aurions-nous vingt ans aujourd’hui et des jambes de feu, il est probable que nous agirions de même.

Ce n’est même pas que les présidents des grands clubs souhaitent se former en ligue. On n’arrête pas un train en marche. Et ce rugby à deux vitesses que certains appellent de leurs vœux, que d’autres abhorrent –et dans les deux cas pour les raisons aussi fondées et légitimes les unes que les autres- est là, et il nous appartient de faire avec. L’élite d’un côté, la masse de l’autre :  avouez que c’est dans l’air du temps.

 Ce qui nous heurte, ce qu’on déplore, ce serait plutôt cette sensation encore mal formulée, diffuse, incontrôlable, mais déjà ressentie par beaucoup d’entre nous, selon laquelle le rugby, de marchandages en chimères et d’imbroglios juridiques en mégalomanie galopante, serait,en train de perdre son âme.

 On voit des sourires se dessiner sur les visages. L’âme du rugby grand Dieu ! Et pourquoi pas disserter, tant qu’on y est, sur la disparition des chers bistrots de notre enfance, l’agonie des entrepôts de Bercy, les dessous cachés de Bardot dans « En cas de malheur », les veillées de nos arrières grands-mères … La poésie du pauvre.

 Pourtant, l’âme ! ou, si vous préférez, la culture, la différence, ce qui fait le rugby plus qu’un sport, fût, pour beaucoup d’entre nous, « une manière d’être », « une certaine façon de prendre son thé ».

Ce rugby où se devinait une drôle de famille, chiante et réac parfois, misogyne et braillante souvent, mais fétarde et tendre, où il ne serait venu à l’idée de personne de se prendre trop au sérieux.

Une famille où se cotoyaient sans encombre grands et petits joueurs, où l’on festoyait pour rien, où l’on savait oublier tout des heurts et des malheurs séance tenante, où le passé des autres se conjugait au présent selon un code de l’histoire qui n’appartenait qu’à elle, où se rassemblaient prolos et intellos sous la foi d’une peur commune, d’une même exaltation.

Rien d’autre qu’un peu de fraternité. Une certaine idée du courage physique. De l’honneur. Du don de soi. Rien qu’un jeu, en somme, mais propre à déclencher chez le jeune Julien Gracq, « des orgies d’enthousiasme solitaire », à susciter chez Antoine Blondin l’idée « d’une démocratie peuplée d’aristocrates », au nom justement de cet esprit chevaleresque, de « ce rugby qu ne se contente pas d’exprimer les riches modalités de l’existence, mais la prolonge et la dilate ».

Ridicule ? Sommes-nous ridicules ? C’est bien possible, allez. Les baladins sublimes de Blondin en appellent aujourd’hui à des impressarii comme les mauvaises vedettes de la chanson et on ne jurerait pas que les nouveaux présidents des clubs en vogue soient venus au rugby dès la plus tendre enfance, conduits par une main de père, pas peu fiers d’amener son rejeton au stade comme s’il s’agissait d'un parcours initiatique.

Leurs préoccupations pourraient bien être ailleurs. L’argent, la télé, les contrats soignés, les sponsors à gogo, les compétitions résolument modernes, ma gueule au journal de vingt heures, du monde autour des stades, des vamps à la mi-temps, des VIP partout et puis l’argent, l’argent, l’argent …..

En sorte, c’est bien probable, qu’ils nous trouveront non seulement ridicules, mais nostalgiques et réactionnaires. Mais comme quoi, allez, il faut bien un début à tout …

  Jacques VERDIER

Ceci est un article écrit... en 1996, dans Midi-Olympique, par Jacques Verdier, rédacteur en chef de ce journal.  
Vous en changeriez une ligne, vous?

L’Auteur - Eric Platej au café des sports à Paris

Le septuagénaire vient d'écrire deux chants : un pour célébrer le centenaire du club de Lourdes ; l'autre pour les Barbarians

Patrick Guyot - L'Yonne.fr 

Éric Platel, un Sénonais d'adoption natif de la capitale, a été sollicité pour mettre ses talents de poète, auteur et compositeur au service de la cause du ballon ovale. Chose qu'il avait déjà faite et avec succès, en composant le Dimanche à 15 heures, dont le refrain a déjà, par deux fois, retenti dans l'enceinte du Stade de France. Un bel hommage rendu par Éric Platel au rugby, qu'il a pratiqué durant de nombreuses années en tant qu'arrière.

Lorsque ce passionné a été contacté par Michel Crauste, l'ancien capitaine du XV tricolore et désormais président du FC Lourdais, pour composer une chanson afin de célébrer le 100e anniversaire du club, Éric Platel ne s'est pas fait prier. Il a écrit Ce maillot de lumière, vibrante ode à la gloire du rugby lourdais, avec la complicité musicale de Jacques Roux.

 

Cet hymne a été chanté pour la première fois vendredi par le Basque Michel Etcheverry, ancien pelotari de renom, avec le grand Choeur des Montagnards de Lourdes, à l'occasion de l'arrivée de la 13e étape du Tour de France, qui faisait étape dans la cité des Hautes Pyrénées. Pour l'occasion, le stade était décoré avec des portraits des anciennes stars du rugby lourdais.

« Le club de Lourdes a été sacré champion de France à huit reprises. 38 de ses joueurs ont été sélectionnés en équipe de France. Parmi eux, Jean-Pierre Craust, bien sûr mais aussi Jean Prat, surnommé Monsieur rugby et aussi Jean Gachassin, l'actuel président de la Fédération française de tennis, ou Pierre Berbizier, actuel entraîneur du Racing-Club de France », rappelle Éric Platel, intarissable sur le sujet.

Ode au cassoulet

Dans le même temps, il a été sollicité par Jean-Pierre Rives, ancien international et actuel président des Barbarians pour écrire son hymne. Rebelote. Éric Platel s'est une fois de plus adjoint les services de Jacques Roux pour la musique. « La difficulté est d'intégrer tout ce qui doit figurer dans une chanson de trois minutes. J'ai fait quatre moutures avant de parvenir à la bonne version », confie Éric Platel qui vient par ailleurs d'achever une Ode au cassoulet, l'hymne de l'Académie universelle du cassoulet.

Un autre registre, aux relents festifs de troisième mi-temps.

Le Dimanche à 15 heures. Paroles Eric Brannay. Adaptation en anglais : Ian Borthwick - Eric Brannay 

Saturday at 3

Le Dimanche à 15 heures. Paroles Eric Brannay.
Adaptation en anglais : Ian Borthwick - Eric Brannay

 In a circle, for the chorus, arms gripping each other's shoulders  
to form the greatest scrum of all -the scrum of friendship-  
together they sing of rugby

Saturday afternoon.
Rugby's old changing room  
Sprigs rapping on concrete  
Two benches side by side  
Sweat liniment and pride  
Can you ever forget  
Ready for the battle  
You feel seven feet tall  
In your bright new jersey  
Just a wink from your mate  
'Cos for words it's too late  
On Saturday at three

 

Refrain  

If you've never played rugby  
How could you believe  
Why hearts beat so strongly  
At the first autumn leaves

 2

As the minutes tick by  
Soon you' ll be eye to eye  
Now there's no turning back    
All for one one for all  
And that odd bouncing ball  
All that counts is your match  
Rugby's all give and tak. 
There are things you can't fake  
Saturday afternoon  
As you run like the win. 
And you lose or you win  
Yeah but time heals all wounds

 

Refrain  
If you've never played rugby ...

  3

So now the game's over.
We all become brothers    
And it's always the same  
We drink laugh and joke  
Losers curse their bad luck  
And you forget your pain    
Saluting the heroe. 
Or drowning your sorrows  
We all sing loud and strong  
My friend this one's on you  
And for sure we'll teach you  
All those old rugby songs

 Refrain  
If you've never played rugby ...

4

As the time marches on  
The day finally dawns  
When you hang up your boots  
Now Saturday at three  
Is just a memory     
But one you'll never lose  
Old players reminisce  
Tries they scored goals they missed  
Crooked ref's wild parties  
That's why you'll see sometimes  
A misty look in their eyes   
When they talk of rugby

 Refrain  
If you've never played rugby  
How could you believe  
Why hearts beat so strongly  
At the first autumn leaves.
If you've never played rugby  
How could you believe  
Why hearts beat so strongly  
At the first autumn leaves.
If you've never played rugby

Les versions du dimanche à 15h

Tous les liens pour télécharger Le Dimanche à 15 heures. 

Saturday at three (la version en langue anglaise).  

Le playback  
Et cela dans différents formats et donc… différentes qualités.

Le dimanche à 15h qualité CD Audio

Le dimanche à 15h format Mp3

Saturday format Mp3

Le playback  format Mp3

L’emission Rencontres a XV sur le dimanche à 15h

Lien de téléchargement Haute définition 350 Mo

SHANTEONA chante le dimanche à 15h

SHANTEONA Au chœur de l'émotion 

 

SHANTEONA

Au chœur de l'émotion

GROUPE VOCAL à Saint Vincent de Tyrosse

Shanteona - carte visite - Fév2022.jpg

Le Dimanche à 3 heures devint. Le Dimanche à 15 heures

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